Montagnier, sale complotiste !

                                En dehors de ceux où il est question de bébés et de chatons, pratiquement tous les articles que je glisse sur les réseaux sociaux sont désormais censurés parce que comme beaucoup, j’ose douter de certaines affirmations officielles. Crime de lèse-majesté ?

                Et comme certains, on en profite pour relire le discours d’Alexis de Tocqueville à la Chambre des députés en janvier 1848.

                « On dit qu’il n’y a point de péril parce qu’il n’y a pas d’émeute. Permettez-moi, Messieurs, de vous dire que vous vous trompez.

                Regardez ce qui se passe au sein des classes ouvrières qui, aujourd’hui, je le reconnais, sont tranquilles.

N’entendez-vous pas qu’on y répète sans cesse que tout ce qui se trouve au-dessus d’elles est incapable et indigne de les gouverner ; que la division des biens faite jusqu’à présent dans le monde est injuste ? Et ne croyez-vous pas que, quand de telles opinions descendent profondément dans les masses, elles doivent amener, je ne sais quand, je ne sais comment, les révolutions les plus redoutables ? »

                Un mois plus tard, en février, c’était le début de la révolution de 1848.

                           Brrr !!!

                Pour clore la séquence, nous allons être invités à choisir de nouveau : tu préfères Macron ou Le Pen ?

                Heu… y’a rien d’autre ? Ben, on n’a rien prévu d’autre.

                 La crise est plus sociale que politique. Les puissants conservent le pouvoir, l’argent, la police et tous les leviers et dans le même temps, la démocratie semble bien          moribonde. Le parlement n’a pratiquement plus de fonction, pour ne rien dire du Conseil inconstitutionnel.

                      Quelle séquence con ?

                 Suite au décès de Luc Montagnier, les médias ont respecté le silence, un silence de mort.

Je veux dire : en passant l’information sous silence. Pas d’hommage national, pas de Macron venant faire son cirque à la télé sur son cercueil, pas une vaguelette, rien.

                 On a fait un pont d’or à l’inénarrable Roselyne Bachelot et que l’ignoble Agnès Buzin et consort se voient décerner la légion d’honneur pour leur magnifique gestion sanitaire. Pendant ce temps, le Prix Nobel de médecine est mort sans que les médias trouvent ça aussi notable que du fait-divers à toutes les sauces ou du Zémour à haute dose.

         On avait copieusement injurié et vilipendé Luc Montagnier quand il disait que le Covid n’était sûrement né de la copulation d’une chauve-souris avec un pangolin. Les médias et pontes divers le traitaient de complotiste sénile quand il refusait au Pfizer la qualification de vaccin. Après quelques jours de mutisme, les journaux ont continué de cracher sur lui.

                 On a appris d’ailleurs ce décès non pas dans la presse mais par les réseaux sociaux et c’est là qu’ont fleuri les hommages. Pas au Panthéon, pas à l’Académie de médecine, pas au Parlement. Il a eu le tort d’avoir raison, exactement comme lors des polémiques suivant sa découverte du VIH.

                  Voilà qui met un terme à cette période sans doute sur le point de s’achever, qui a vu d’autres morts.

                  La mort de la crédibilité des médias, des politiques, des syndicats, des scientifiques et de l’ensemble des formes de représentation de la parole publique. Parole publique complètement dévaluée, comme sa monnaie. A ce propos, chacun a le sentiment justifié que l’inflation, annoncée à quelque 2% est en fait de 9 à 10%.   Un mensonge de plus.

                  Considérez-moi comme complotiste

                  On a constaté par degré que la différence entre complotisme et réalité, c’est 3 mois. Exactement comme la validité d’un Pfizer.

                  Le mensonge, la censure et la contre-vérité se sont installées durablement. A tel point que tout média produit maintenant ce qu’ils appellent du « fact-checking » et prétendent traquer les « fake news« , sans paraître réaliser que ces américanismes produisent un jeu dangereux pour eux, qui en sont les principaux fournisseurs.

                  Ils n’ont de place que pour la doxa officielle matraquée jour et nuit, avec un certain succès puisque pratiquement 75% de la population la gobe.

                  Voilà qui permet de mieux comprendre des choses sur l’expérience de Milgram sur la soumission à l’autorité et sur la période pétainiste.

Voter dur, voter mou ?               

                 Question à 100 balles : la troisième dose sera-t-elle encore longtemps nécessaire pour obtenir le passe vaccinal qui l’est encore moins ?

L’appétit vaccinal forcené des Français diminuant salement, le pouvoir ira-t-il aux élections avec 15 ou 20 millions de citoyens sans Ausweis ?

Question à 50 balles : que se passera-t-il si 3 candidats seulement obtiennent le droit de participer au scrutin à cause des si démocratiques 500 signatures ?

          Au moins l’élection change un peu le spectacle, et beaucoup se demandent si l’important est vraiment de participer.

A toi de voir.

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